J‘ai passé ma soi rée d’hier à ruminer… Tout semblait vraiment aller de travers… tout mais vraiment tout…
Tout a commencé le matin. Je me suis levée et je suis allée à la cuisine pour sortir le beurre du frigo pour qu’il ne s oit pas trop « béton » au moment (important) du « tartinage » de Craquottes. J’ouvre la porte du frigo, me saisis du beurrier qui s’ouvre… le beurre s’étale par terre sous mes yeux encore embrumés par le sommeil… Super…
Je file sous la douche et je me prépare… tout semble aller pour le mieux quand j’entends sonner à la porte. Je regarde par le judas : c’est le gardien de l’immeuble. Je lui ouvre… Je ne m’attends pas à une super nouvelle à moins qu’il vienne nous annoncer qu’on nous a trouvé un super appart’ !… mais faut pas rêver… et j’ai bien eu raison de ne pas rêver : le voisin du dessous a une fuite d’eau… C’est déjà arrivé il y a trois semaines. Un flexible caché sous la baignoire était rouillé… Mais cette fois ?
Il examine la baignoire, nos conduites d’eau… tout est ok… mais peut-être est-ce un problème sous dalle ? Ce qui voudrait dire : nécessité d’éventrer le sol à la recherche de la fuite… Un plombier doit passer dans la journée.
Quand il est parti, j’ai pris mon petit déj’ vite fait et je me suis sauvée au travail.
La journée a été difficile à cause de la fatigue qui m’écrase (si seulement mes nuits me reposaient !).
Rapidement, le moment de partir est arrivé. Ce soir là, il ne fallait pas que je traine ! Non… Y’avait du boulot ma tite vieille ! Il fallait passer au labo et arriver ava nt 17 h 30 à la maison pour un rendez-vous convenu pour la vente d’un objet que j’avais faite sur le net. La personne devait déjà passer la veille et n’avait pu être là… Le rendez-vous avait donc été reporté à hier soir. Après une course effrénée dans le métro et ses couloirs, dans la rue entre le labo et la maison, je me pose enfin, prête à accueillir mon acheteur.
17 h 30 : personne…
18 h 00 : toujours personne…
18 h 30 : je commence à m’énerver… toujours pas de nouvelles. J’envoie un sms à la personne pour savoir si elle va passer…
19 h 00 : pas de nouvelles… J’attends toujours…
19 h 30 : mon téléphone sonne. C’est elle. Elle n’a pas pu arriver à mon rendez-vous à l’heure indiquée (ah bon ???!… rien remarqué moi…) Elle doit arriver à 20 heures.
20 h 00 : personne
20 h 30 : je n’y crois plus… Je ne pense plus qu’à mon lit. Mais l’interphone retentit… c’est elle !
Ma vente s’est finalement très bien passée. L’argent en main, un objet encombrant en moins, je me détends un peu… Pourtant, j’ai encore en tête les résultats de mon analyse de sang(voir mon article précédent). Encore un autre point noir de la journée. Le taux n’est pas des meilleurs et puis ça m’énerve !
Je repense au jour des prises de sang.
Quand j’y pense, j’ai fini de boire mon glucose à 8 h 40… et j’ai été appelée pour être piquée à 9 h 25… Pas vraiment 1 heure après… Est-ce que cela ne fausse pas un peu le résultat ?
Et puis j’en viens à me demander pourquoi j’ai fait un tel test… Je ne fais vraiment pas partie des personnes « à risques ». Il n’y a pas de problème de diabète dans ma famille, je n’en ai jamais eu non plus. Mes taux de glycémie ont toujours été très bas et j’ai même tendance à faire de l’hypoglycémie… ma consommation de sucre est restreinte et, enfin, je ne souffre pas de surpoids ou d’obésité… Mon IMC a toujours été correct… bref, pourquoi on m’a fait passer le test O’Sullivan, hein ??!
Ce qui m’exaspère c’est aussi le côté « médical » et illogique du test.
Qui irait ingérer 50 g de glucose comme ça, d’un coup ? Il me semble tout de même plus logique de faire une prise de sang avant la prise d’un repas, puis quelques heures plus tard pour vérifier le taux de glucose dans des conditions normales… non ? C’est ce que propose le test de glycémie post-prandiale. Et je trouve cela beaucoup moins « agressif » pour le corps. Une collègue a fait ce test pendant sa grossesse et n’a même pas entendu parler du fameux O’Sullivan. Et elle a pu, au moins, éviter une attente longue et inconfortable dans un labo impersonnel et éviter également de se retrouver chancellante au milieu de la rue, a jeun, après une prise de sang.
Autre point « moins » de la soirée : chéri n’a pas très envie de faire des galipettes…
En fait, depuis qu’il sait que nous attendons une petite fille, il crainds encore un p eu plus nos câlins car « ça le gêne ». Mais ça, non, ça peut pas aller hein ! Je suis déjà une vraie boule de nerf alors si je ne peux plus avoir ma dose de « câlins », je vais pêter un câble… Il peut toujours venir se plaindre du fait que je sois « chiante »… c’est pas en me privant de nos étreintes qu’il va me rendre plus agréable à vivre, bien au contraire !
Il a encore fallu que je fasse preuve de patience et de persuasion pour lui faire comprendre que la Puce, ben elle s’en moque de ce qu’on fait… et que ces câlins sont importants pour notre équilibre. Heureusement, je suis parvenue à mes fins !! héhé !
Bon, finalement, la journée s’est bien terminée !
De l’argent suite à la vente que j’ai pu faire, des câlins et des réponses à un certain nombre de questions que je me posais… 🙂
Cette nuit a été mauvaise, comme les précédentes. Ca devient habituel malheureusement. Je me dis qu’il faut vraiment que je m’achèe mon coussin d’allaitement mais le prix me freine beaucoup. Malgré tout, j’en ai trouvé un qui a de supers critiques, bio, garni d’épeautre et pas excessivement cher par rapport à d’autres sur un site tout b eau, tout bio : www.lesgrenouillesvertes.com
Je crois que je vais devoir casser ma tirelire… il est grand temps ! Et puis ce serait sympa de la part de la Puce de cesser de taper dans la vessie de sa maman !! 😉