Le jour où Quicky nous a rendu visite (avec de vrais morceaux de vie dedans…)

Je blogue ici depuis presque 5 ans mais jamais on ne m’avait proposé de rencontrer une star en chair et en os… ou en tissu et en mousse… Dans le cadre de la collaboration entre Playmobil et Nesquik (je vous donne plus de détails sur l’opération plus bas dans cet article), on m’a proposé d’accueillir chez moi la star de la poudre chocolatée, j’ai nommé…….. Quicky !

Quicky, c’est la mascotte de Nesquik.

Elle est présente sur tous les produits de la marque. Elle est venue remplacer GrosQuick que vous connaissez sans doute, il y a quelques années de ça.
J’ai donc accepté d’accueillir l’immense le grand lapin à la maison. Je trouvais l’idée rigolote et cette opération originale.

Quicky devait donc frapper à notre porte.

Je n’avais rien dit aux filles car la surprise devait être entière. Quicky tardait un peu à se présenter devant notre porte. Pourtant, les filles savaient que quelqu’un devait arriver. La sonnette avait retentie et j’avais répondu à l’appel via l’interphone de l’appartement. Elles attendaient, impatientes, derrière la porte. Dans le couloir, on entend une soufflerie qui fait penser au bruit d’un aspirateur. Je sais que la comédienne enfile son costume. J’attends donc que l’on frappe à ma porte pour ouvrir.

Le moment tant attendu arrive enfin.

Emma est plus qu’impatiente et se poste à l’entrée de l’appartement. Léna est toujours prête à ouvrir la porte quand on a de la visite. Elle a donc été aux premières loges quand la porte s’est ouverte sur Quicky. Je n’avais pas encore pu l’apercevoir que Léna s’est mise à hurler comme jamais elle n’a hurlé, se plaquant contre le meuble de l’entrée, coincée, apeurée, effrayée… Elle hurlait toujours tandis qu’elle tremblait contre la paroie du meuble. Cette scène n’a durée que 2 ou 3 secondes mais elle m’a semblée terriblement longue et éprouvante pour elle. Je l’ai saisie tandis que je découvrais Quicky dans l’encadrement de la porte. Pendant ce temps, Emma fuyait en pleurant, apeurée elle aussi par cet immense lapin. J’ai fini par lâcher Léna qui a filé au salon, le plus loin possible de l’entrée. Emma continuait de pleurer…

L’accompagnatrice de Quicky est entrée dans la pièce et a tendu un sac à Emma. A l’intérieur, il y avait une boîte de Nesquik, un énorme bol jaune (que je me suis gardé !!!) et une boîte de jeu Playmobil Princesse. Emma a accepté ces présents en disant « je ne veux pas le voir, je ne veux pas le voir… ».

Nos deux visiteurs sont repartis aussi rapidement qu’ils étaient arrivés, un peu penauds et tristes d’avoir effrayé nos deux trouillardes.

J’avais eu le temps de prendre une photo de Quicky quand même. Je leur ai montré ensuite en leur expliquant qu’il était gentil etq u’il ne fallait pas en avoir peur. Emma a vite saisi le message. Pour Léna, ce fut plus compliqué… On ne pouvait plus prononcer le nom de Quicky en sa présence sous peine de la voir pleurer. De même, elle n’osait plus passer la porte de l’entrée, de peur, sans doute, de voir le grand lapin pointer son nez… Et je vous passe les quelques soirées compliquées lors desquelles elles ne voulaient plus dormir sans sa soeur, prononçant encore le nom de Quicky, à peine posée dans son lit : « Kiki » comme elle dit…

C’est, en tous cas, un moment que je ne suis pas prête d’oublier !

Et vous, vous auriez aimé voir Quicky chez vous ?