UntiBebe family – Blog famille, voyages, mode enfant & lifestyle

Faisons le point sur les couches Pampers !

Début juin, j’ai été invitée dans les locaux de P&G pour découvrir le nouveau des couches couches pampers… l’occasion idéale pour faire un retour sur l’histoire de la célèbre marque de couches.

Pampers en quelques chiffres :

: c’est le nombre de logos que Pampers possède à son actif depuis sa création.

1961 : c’est à cette date que la première couche Pampers a été commercialisée aux Etats-Unis.

1978 : c’est à cette date que les couches Pampers sont arrivées sur le marché français soit 17 ans après leur naissance aux Etats-Unis !

2006 : Pampers s’engage aux côtés de l’UNICEF pour tenter d’éradiquer le tétanos de la mère et du nourrisson avec son opération « 1 paquet = 1 vaccin ». Aujourd’hui, le tétanos a ainsi disparu dans 10 pays.

Saviez-vous également que Pampers a lancé, il y a une vingtaine d’années une gamme de couches distinguant un usage pour filles et un usage pour garçon ?

Ces couches avaient été conçues pour répondre au besoin particulier des bébés qui ne mouillaient pas la même partie de la couche selon leur sexe. Ces couches ont disparu avec l’évolution des changes qui, aujourd’hui, sont adaptées aussi bien aux filles qu’aux garçons : elles sont absorbantes partout !

Ce rendez-vous a été le moment idéal pour découvrir aussi ce que cachaient ces fameuses couches.

Je n’avais jamais osé ouvrir une couche pour voir ce qu’elle renfermait… mais on l’a fait !En compagnie de Isabelle Merlay, chargée de la recherche et du développement chez Pampers France, nous sommes partis à la découverte du pouvoir absorbant des micro capteurs contenus dans les couches.

Des micros capteurs, des petites billes qui gonflent au contact d’un liquide (comme le pipi !), sont capables d’en absorber une quantité incroyable en l’espace de quelques secondes. Les fesses de bébés restent ainsi au sec plus longtemps. Les petites billes absorbantes font penser aux billes que l’on met avec certaines plantes… vous voyez ?

Ces billes qui conservent l’humidité pour les restituer aux plantes qui en ont besoin.J’avoue que suite à cette petite expérience, je me posais un certain nombre de questions. J’ai donc eu envie d’interviewer Isabelle pour en savoir plus.

L’interview d’ Isabelle Merlay,

chargée de la recherche et du développement

chez Pampers

***

Untibebe : Bonjour Isabelle !  Pourriez-vous vous présenter ?

Isabelle : Je m’appelle Isabelle Merlay, et je m’occupe de la recherche & développement de Pampers en France depuis plus de 10 ans. Et au-delà de Procter, j’ai eu 4 enfants et je serai bientôt grand-mère…

Untibebe : Les couches Pampers sont réputées hyper absorbantes. Les capteurs qu’elles contiennent y sont pour beaucoup ! Mais ces capteurs font peur à certain parents qui voient en eux tout ce qu’il y a de plus chimique. Pourriez-vous nous en dire plus sur ces capteurs ? De quoi sont-ils composés ?

Isabelle : Il y a en effet de nombreuses rumeurs qui circulent au sujet des micro capteurs super absorbants présents dans les couches bébés. Ces derniers sont absolument sûrs pour la santé et la sécurité de bébé, ils ont fait l’objet de nombreux tests. Ils sont composés de sels de polyacrylate de sodium. Ce sont des grosses molécules qui se gonflent avec l’eau ou l’urine et qui la retiennent et l’empèchent de « ressortir »  même quand le bébé s’assoit dessus.

Untibebe : Beaucoup de parents ignorent qu’elle différence il y a entre une couche de taille 4 et une autre de taille 4+. Pourriez-vous éclairer notre lanterne ?

Isabelle : En terme de dimensions, les modèles 4 et 4+ sont identiques. Simplement, une 4+ contient plus d’agents absorbants et pourra donc contenir une plus grande quantité d’urine. Ces déclinaisons « + » sont par exemple particulièrement adaptées pour les bébés qui boivent beaucoup et dorment longtemps. Les pipis sont donc logiquement plus importants.

Untibebe : Des lecteurs de Untibebe ne veulent pas utiliser de couches Pampers pour le motif suivant : elles seraient responsables d’allergies. Les couches Pampers peuvent-elles effectivement être source d’allergies ?

Isabelle : Les couches Pampers sont testées de façon très stricte avant leur mise sur le marché. Nous travaillons également en étroite association avec des pédiatres, dermatologues. Souvent les rougeurs du siège sont associées à de l’allergie alors qu’elles correspondent plus à un début d’érythème fessier

Untibebe : La couche écologique est très en vogue aujourd’hui. De plus en plus de marques dites « bio » en proposent.  La marque Pampers envisage-t-elle de s’orienter dans une gamme bio/écolo dans l’avenir ?

Isabelle : Notre vocation est de proposer les meilleurs produits pour bébé, et nous avons 200 chercheurs qui, au centre R&D de Francfort, travaillent sur la couche de demain. Notre priorité n°1 est et reste de garantir la meilleure absorption (en quantité et rapidité) et le meilleur ajustement. L’appellation « bio » que l’on voit apparaître ici et là recouvre des réalités très différentes.Chez Pampers, nous regardons à offrir donc la meilleure performance, tout en réduisant au fil du temps l’empreinte environnementale de la couche, qui ainsi a vu son poids considérablement réduit au fil des ans. Nous travaillons aussi sur les emballages (passer du carton au film plastique) et sur le transport et la quantité de matières premières.

Untibebe : Et si vous deviez donner un conseil aux parents d’enfants de moins de 3 ans, quel serait-il ?

Isabelle : Mon conseil serait de faire particulièrement attention au sommeil de bébé, qui est crucial pour que ce dernier puisse se développer et profiter pleinement de ses journées. Les règles essentielles étant d’instaurer un rituel avec un horaire régulier de coucher. Et prendre plaisir à être avec son bébé.

Untibebe : Merci d’avoir répondu à ces quelques questions Isabelle !

***

Lors de cette entrevue, nous avons pu faire le point sur la gamme Pampers.

Quelle différence y a t-il donc entre une Pampers Simply Dry, une Pampers Active Fit et une Pampers Baby Dry ?

Je n’en avais strictement aucune idée… Maintenant je sais ! Et je partage ce savoir avec vous tant qu’à faire !

Cet article vous a-il permis d’apprendre quelques petites choses concernant les couches ?

Quitter la version mobile