La solitude, ce n’est pas l’ennui, c’est la liberté
Quand on parle de plaisir en solitaire, le malaise n’est jamais très loin. Pourtant, soyons honnêtes : tout le monde le fait, ou presque. Ce n’est pas un tabou qu’on devrait encore porter en 2025. Se donner du plaisir seul, c’est une façon comme une autre de se reconnecter à soi. Et ce n’est pas une affaire de célibataires ou de manque. C’est une forme d’exploration intime, un moment à soi, loin du regard de l’autre, sans performance à assurer.
Il ne s’agit pas de remplacer quoi que ce soit. Juste de s’ajouter à soi-même. De manière simple, douce et assumée.

Le corps a ses demandes, autant les écouter
Dans une société qui nous pousse à aller toujours plus vite, prendre du temps pour soi devient presque un acte de résistance. Et dans ce temps pour soi, le plaisir peut (et doit) avoir une place. Parce qu’il détend, qu’il libère des tensions, qu’il aide parfois à mieux dormir, et qu’il permet de rester connecté à son propre désir. Le corps n’est pas une machine qu’on met de côté entre deux réunions.
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Il est vivant. Et il aime qu’on s’en occupe
Les accessoires intimes ne sont plus ce qu’ils étaient. Les designs ont évolué, les matériaux aussi. Certains objets ont même trouvé leur place dans les routines bien-être du quotidien, au même titre qu’un massage ou une séance de méditation. La marque de sextoys Satisfyer, par exemple, s’est imposée comme un acteur majeur dans le domaine, en proposant des produits innovants, accessibles, et surtout pensés pour le plaisir de chacun, sans clichés. Anneaux, stimulateurs, godemichets, vibromasseurs… il y a aujourd’hui des options pour tous les goûts, toutes les envies, tous les corps.
Se connaître, c’est aussi mieux aimer
La découverte de soi est un terrain qui ne se ferme jamais. Ce n’est pas parce qu’on a 30, 40 ou 60 ans qu’on a tout compris à son propre désir. Se donner du plaisir permet de se réapproprier son corps, surtout si on l’a oublié un temps, ou si on l’a trop souvent mis au service de l’autre. Et ça n’est jamais trop tard pour recommencer.
Ce n’est pas égoïste. C’est intime, oui, mais aussi profondément libérateur.
Seul, mais pas isolé
Il y a mille manières d’être en lien avec soi, et le plaisir intime en fait partie. Sans pression, sans honte, sans performance. Juste une façon de se dire qu’on compte aussi pour soi-même. Et franchement, on aurait tort de s’en priver.