Vous l’avez peut-être remarqué (je ne suis pas votre centre du monde, j’en ai bien conscience… Bien que l’idée me plaise assez… ou me fasse flipper…), je ne suis pas très présente sur le blog. Vous me croisez encore sur Facebook et Instagram mais sur le blog, oui, je me fais très discrète.
Depuis les vacances, j’ai un peu de mal à raccrocher avec mon rythme effréné pré-estival. C’est que mémère est fatiguée ! Et puis, je dois dire que mon esprit est particulièrement sollicité en ce moment.
Hey ! C’est la dernière ligne droite avant notre mariage ! J-12 les amis ! Je ne me sens pas spécialement à la bourre, comme on dit. Ça va, je crois que je suis dans les temps (et dans une semaine, je vais venir pleurnicher parce que tout ira de travers, parce que je saurais pas par quel bout commencer pour finir à temps… vous verrez !). Je crois que l’arrivée imminente de notre mariage ne me stresse pas… Ou presque… Nous faisons une cérémonie laïque. Du coup, chacun de notre côté, on doit concocter nos vœux pour l’avenir. Mes vœux, ils sont prêts depuis 3 ou 4 mois au moins… Sauf que voilà, je les ai relus il y a quelques jours mes vœux… Et le verdict est tombé… le verdict est sans appel… il n’y a qu’un terme pour les désigner… voilà, mes vœux, ils sont vraiment pourris ! Mais pourris ! Je n’ose même pas imaginer dire ce que j’ai écrit sans mourir de honte sous ma « gnangnanitude » (cherchez pas ce mot dans le dico, il n’existe pas). Alors du coup, on est à J-12 et je dois encore écrire mes vœux. Et là, je vous raconte pas le bazar ! Entre mon esprit en ébullition et en contrôle permanent de ce qu’il reste à faire, ce qui a été fait, ce qu’il faudrait faire, ce qui pourrait être fait si je reçois une commande à temps, entre le monde à la maison, le boulot à gérer, la formation qui pointe le bout de son nez, les RDV à prendre et j’en passe, je n’ai que peu de place dans mon cerveau pour concevoir mes vœux.
Ah ! Ça valait le coup de me vanter auprès du chéri que « nananère », j’avais déjà écrit mes vœux… Ah ! Ça valait le coup ! Aujourd’hui, je me retrouve avec une page blanche, le cerveau en compote, incapable d’écrire quoi que ce soit d’audible et de sympa à prononcer devant nos proches dans… quoi ? 12 jours à peine !
Alors, je compte sur ma bonne étoile et mon inspiration pour me sauver de cette situation inconfortable (qui fait quand même vachement peur !)… J’espère avoir un éclair de lucidité d’ici le 19 septembre, 17 heures…Mais quelle est l’andouille qui a voulu faire une cérémonie laïque, hein ? Qui est la nounouille qui a eu la fabuleuse idée de nous faire prononcer des vœux à notre mariage ?! (comment ça, c’est moi ?!)
Hey ! C’est la dernière ligne droite avant notre mariage ! J-12 les amis ! Je ne me sens pas spécialement à la bourre, comme on dit. Ça va, je crois que je suis dans les temps (et dans une semaine, je vais venir pleurnicher parce que tout ira de travers, parce que je saurais pas par quel bout commencer pour finir à temps… vous verrez !). Je crois que l’arrivée imminente de notre mariage ne me stresse pas… Ou presque… Nous faisons une cérémonie laïque. Du coup, chacun de notre côté, on doit concocter nos vœux pour l’avenir. Mes vœux, ils sont prêts depuis 3 ou 4 mois au moins… Sauf que voilà, je les ai relus il y a quelques jours mes vœux… Et le verdict est tombé… le verdict est sans appel… il n’y a qu’un terme pour les désigner… voilà, mes vœux, ils sont vraiment pourris ! Mais pourris ! Je n’ose même pas imaginer dire ce que j’ai écrit sans mourir de honte sous ma « gnangnanitude » (cherchez pas ce mot dans le dico, il n’existe pas). Alors du coup, on est à J-12 et je dois encore écrire mes vœux. Et là, je vous raconte pas le bazar ! Entre mon esprit en ébullition et en contrôle permanent de ce qu’il reste à faire, ce qui a été fait, ce qu’il faudrait faire, ce qui pourrait être fait si je reçois une commande à temps, entre le monde à la maison, le boulot à gérer, la formation qui pointe le bout de son nez, les RDV à prendre et j’en passe, je n’ai que peu de place dans mon cerveau pour concevoir mes vœux.
Ah ! Ça valait le coup de me vanter auprès du chéri que « nananère », j’avais déjà écrit mes vœux… Ah ! Ça valait le coup ! Aujourd’hui, je me retrouve avec une page blanche, le cerveau en compote, incapable d’écrire quoi que ce soit d’audible et de sympa à prononcer devant nos proches dans… quoi ? 12 jours à peine !
Alors, je compte sur ma bonne étoile et mon inspiration pour me sauver de cette situation inconfortable (qui fait quand même vachement peur !)… J’espère avoir un éclair de lucidité d’ici le 19 septembre, 17 heures…Mais quelle est l’andouille qui a voulu faire une cérémonie laïque, hein ? Qui est la nounouille qui a eu la fabuleuse idée de nous faire prononcer des vœux à notre mariage ?! (comment ça, c’est moi ?!)
Bon, je me plains, mais en fait j’y tiens à nos vœux… alors je vais y travailler… mais si vous avez des pistes pour m’aider, laissez moi un message après le bip !
Evelyne
4 comments
Tu vas vivre un jour magnifique, profites à fond!!! on aura un point commun car me je suis mariée le même jour que toi, il y a 6 ans.
Je ne me fais pas de soucis sur ton aptitude à trouver les bons mots.
<3
Tu es laaaaarge, mes voeux je les ai écrits…. chez le coiffeur le matin même ^^
Si t’es comme moi, tu pleurnicheras et on ne comprendra rien de ce que tu est en train de dire 😀 ah ah ah Trop d’émotion pour moi, la lecture de mon texte …
Écoute ton cœur, et tu trouveras 🙂