Récemment, nous avons été invités à découvrir un restaurant japonais, le Matsuri.
Matsuri est le premier restaurant japonais d’Europe proposant un comptoir tournant sur lequel défilent des assiettes.
En fait, c’est un concept que j’avais déjà pu tester il y a quelques années sur Lyon. Impossible de me souvenir du nom de l’enseigne. Mais il y a de grandes chances que ce soit justement un restaurant Matsuri car il y en a 3 à Lyon.
Le restaurant reprend la tradition du sushi bar en proposant une restauration assise en comptoir. Il y a donc une cohésion indéniable avec mes autres clients mais je ne l’ai pas trouvée gênante. Il se dégage une véritable convivialité du concept que je trouve vraiment sympathique. Les décors sont également très chaleureux et l’atmosphère est, je trouve, apaisante. Dehors, la pluie tombait tandis que nous goûtions nos premières tranches de sashimi.
Du côté de l’assiette
Parce que nous ne sommes pas là que pour apprécier l’architecture et les lignes épurées et contemporaines des lieux, nous avons choisi nos plats selon nos envies. Le concept permet vraiment de varier son menu selon son bon vouloir. Moi qui suis attachée à mes shirashis de saumon, j’ai su dévier de ma trajectoire pour goûter des sushis délicieux ou encore des makis aux goûts inhabituels et un peu surprenants qui ont su ravir nos papilles. Je pense notamment aux maki saumon et épinards.
Je retiens de ce repas une qualité incomparable des produits. Le saumon est terriblement bon et se révèle sans doute comme le meilleur saumon cru que j’ai pu manger jusque là. J’ai pu discuter avec le gérant des lieux qui m’a indiqué que le poisson était le même que celui que l’on sert dans les 3 étoiles. Rien à voir avec les resto japonais dont j’ai l’habitude.
Chaque assiette a un liseré de couleur différente. Chaque couleur est associée à une tarification. A la fin du repas, le montant à régler est donc calculé assiettes vides sous le coude 😉
2 comments
Oh merci pour l’adresse ! Je note ! Ca nous rappellera nos vacances 🙂
[…] mais qui vaut le détour malgré tout. Vous saviez déjà que j’étais fan de cuisine japonaise, non […]