J’attends un deuxième enfant. Prévu pour le 4 novembre par les échographies déjà faites, il n’y a plus aucun doute possible : je suis belle et bien enceinte.
Voilà, je suis enceinte de 4 mois et je suis rongée par une angoisse. Je me pose mille questions, je m’interroge sur notre futur, sur la nouvelle organisation de notre petite famille… Et je ne peux m’empêcher de me demander si je suis vraiment prête pour cette nouvelle aventure.
Je me sens beaucoup moins impatiente de voir bébé arriver que pendant ma première grossesse. C’est un peu comme si je savais que c’était inévitable mais que de toute façon je devais passer par là… Je ne me sens pas pressée de le voir arriver… En fait, son arrivée me terrifie !
Cet équilibre que nous avons su créer dans notre vie à trois sera bientôt chamboulé. Cet équilibre que j’ai eu du mal à trouver, il va falloir que j’accepte de le perdre à nouveau pour en créer un autre. Il faudra sans doute du temps pour ça et cela me fait peur. Nous ne serons plus deux à subir ce changement mais trois… Minipuce, qui n’a rien demandé à personne, va devoir s’adapter, elle aussi, à cette nouvelle situation, voir son statut d’enfant unique anéanti tandis que sa mère va passer son temps à s’interroger sur ce qu’elle doit faire ou non pour mieux faire passer la pilule…
Et puis, il faudra apprendre à vivre avec cet enfant. Je me demande parfois si les débuts avec lui (ou elle) seront aussi difficiles pour moi que ceux que j’ai vécu à l’arrivée de Minipuce. J’ai tant souffert, versé tant de larmes… perdu espoir…
J’ai peur de revivre ces mauvais moments dans lesquels je me suis sentie si seule ! J’ai peur du Baby Blues, de la dépression post partum… J’ai peur de ne pas savoir assumer cette nouvelle présence associée à celle de mon adorée Minipuce. Je me sens si faible parfois !
Par moment, je me dis que je ne suis pas prête pour ça… Je ne suis pas prête à avoir ce deuxième enfant. Pour autant, son arrivée est comme une évidence. Cela me semble inéluctable : il doit naître et vivre parmi nous.
Mais, pour l’heure, je le perçois comme un étranger lui qui « n’a pas encore de sexe » (à mes yeux en tous les cas…). J’ai du mal à l’aimer… Je crois même m’interdire de le faire au risque de culpabiliser. Parce que oui, je culpabilise de lui donner de l’amour, un amour filial que je ne donne actuellement qu’à mon unique petite fille, ma princesse, mon grand bébé parfait (même si elle ne l’est pas, elle l’est… pour moi… sa mère).
Cet « étranger », qui doit arriver d’ici cinq mois dans nos vies, me fait peur… Cet étranger qui pousse pourtant en moi, cet enfant que je sens au creux de mon ventre, qui gigote, qui pédale, qui me rappelle sans cesse sa présence et l’imminence de son arrivée…
Ce bébé que nous comblerons d’amour pourtant quand il sera là, dans nos bras… Ce petit être qui ne cesse de me faire culpabiliser de mon « infidélité filiale » vis à vis de ma petite fille…
Et vous, vous êtes-vous déjà sentie si démunie face à l’arrivée d’une deuxième, troisième… enfant ?
41 comments
Comme je le dis souvent quand on s’exclame de me voir avec 3 enfants, le plus dur, c’est de passer de « un » enfant à deux … parce que comme tu le décris si bien, tout notre amour, qu’on a et
quand on a qu’un seul enfant, on lui donne à lui, rien qu’à lui … on sait qu’on ne devra pas « partager » … le passage à deux enfants soulève des tas de questionnement mais crois moi, tu les
oublie bien vite … après, avoir deux enfants est une telle évidence que tu te demande pourquoi, tu t’es posé autant de question avant … le passage à trois enfants est en cela, beaucoup plus
zen … bon après, tu stresse pour des tas d’autre raison : budget, espace maison, voiture etc 😉
Quand mon premier est né, j’étais assaillie de doute, j’ai pleuré la nuit, au milieu du couloir avec mon tout petit dans les bras, j’étais pas très sûre de mes gestes. Quand je suis rentrée de la
maternité avec lui, je me suis sentie perdue. Je me suis dit : « Et maintenant, je fais quoi ? » J’ai appris à être maman avec lui. Il a essayé les plâtres 🙂
Puis il y a eu Clémentine, la grossesse a été chiante, pénible douloureuse. J’ai pas du tout de nostalgie. Sa naissance a été magique. Et quand je suis rentrée à la maison, tout s’est goupillé
naturellement. Absolument tout. Comme si elle avait toujours été là. Il y avait sa place dans notre famille depuis toujours, elle a juste pris la place qui lui revenait de droit. Sans que les
autres aient à se serrer.
Les gestes sont plus sûres, l’interprétation des pleurs moins difficile….On est plus cool, plus zen, plus sereine. On sait ou on met ls pieds (même si un bébé n’est pas l’autre).
Tu vas voir, ce bébé va trouver sa place dans ta famille car elle est déjà là, vacante. Il va arriver et va transformer votre équilibre. Vous nez serez pas déséquilibrés, vous aurez un autre
équilibre. Il arrivera naturellement, sans forcer.
Mes sincères féliciations pour cette grossesse 🙂 Tu vas voir : 2 fois plus d’emmerdes mais 100x fois plus de bonheur
Il faut savourer cette chance de porter la vie, je suis sure que malgrés les doutes, l’aventure sera magnifique. Je viens de perdre mon bébé à presque 4 mois de grossesse, et je mesure combien
c’est une chance de pouvoir accompagner cette petite vie qui se prépare… !
Hello,
Je ne pense pas avoir ressenti cela mais je peux te dire que le euxième ça roule tout seul 🙂
Le vrai choc c’est le premier je pense, avec le premier on perd toute sa liberté qu’on a toujours eu, c’est un gros changement, c’est pas facile, on s’y attend pas à ce point.
Le deuxième il ne change pas grand chose dans l’équilibre.
Les miennes ont 16mois d’écart et ça s’est fait tout seul, c’est le plus beau cadeau que j’ai pu faire à ma grande monstrouille qui est de suite tombée amoureuse de sa soeur.
Relax 🙂
Pour le moment bb2 n’est pas d’actualité mais il le sera un jour, nous voulons un deuxième enfant, mais comme toi j’ai peur de beaucoup de chose. La première fois je ne savais rien de ce qui
allait arriver et j’avais peur aussi ! Là, savoir que ça pourrait être pareil avec des moments difficiles au début, avec peut être une envie de lacher prise, me fait peur. Et je me dis aussi que
ça peut être complètement différent, plus facile peut être ! et qu’une fois là ce deuxième ne viendra que compléter la famille naturellement. Avoir peur c’est un peu la définition d’être parent
😉
Merci pour ces mots rassurants. C’est toujours bien d’avoir des retours d’autres parents… autour de moi, il n’y a que des parents à enfant unique… à part un…
Je suis sincèrement désolée pour toi. Je n’ose pas imaginer ce que tu ressens. Sache que, sincèrement, je suis profondément triste pour toi. Malgré les doutes, malgré les peurs, je sais que si je
perdais cet enfant, je serais inconsolable.
Tu as sans doute raison oui… je sais que je me posais beaucoup de questions « idiotes » lors de ma première grossesse que je n’imaginerais pas me poser aujourd’hui… ce sera sans doute le cas
quand j’aurais mon second bébé dans les bras. Je me dirais que toutes ces questions étaient bien idiotes aussi !
J’avais ressenti à peu près la même chose quand j’étais enceinte de ma seconde puce. Et toutes mes craintes ont été balayées très rapidement. Et franchement je me faisais une montagne du fait de
passer de 1 à 2 enfants, et finalement ça été beaucoup, beaucoup plus simple que de passer de 0 à 1 😉
Je te dirais bien « Tu te pose trop de questions ! tu veras ça se passera bien ! » mais pendant ma seconde grossesse, je me suis aussi posée des milliards de questions, certaine très « idiotes »
comme tu dis : mon grand va t’il l’accepter ? (surtout qu’ils partagent tous les deux la même chambre), vais je l’aimer aussi fort que mon premier ? vais je avoir le temps de m’en occuper autant
que je me suis occupée du grand ? … Bref, ‘est tout à fait normal que tu te questionnes, c’est l’inverse qui serait étonnant. Les réponses ne viendrons « que » dans 5 mois, d’ici là tu aura
répondu à la moitié d’entre elles.
Je découvre ton blog avec ce billet très émouvant. Lorsque j’étais enceinte du 2e, je me souviens avoir culpabilisé de « faire ça » à mon fils ainé. Je trouvais comme toi qu’il ne méritait pas
qu’on lui pique sa place. Lorsque le second est né, j’ai beaucoup pleuré. Pas le baby blues, mais l’ainé blues ! Dès qu’il montrait quoi que ce soit de négatif, j’avais l’impression que c’était
parce qu’il ne digérait pas la naissance de son frère. J’avais le sentiment de lui enlever de mon temps et de mon attention, sans qu’il n’ait rien en retour.
Jusqu’au jour où le second a souri à l’aîné qui faisait le zouave devant lui. Si tu avais vu la fierté dans les yeux de mon Grand Loup. J’ai compris ce jour là que la relation entre deux enfants
est une chance incroyable pour eux. Cela s’est evidemment confirmé par la suite. Et aujourdhui, nombreux sont les moments où les enfants (5 et 3 ans) préfèrent rester entre eux, et s’inventer des
mondes impénétrables. Lorsque je petit dernier est né il y a 9 mois, j’ai vu l’inquiétude légitime dans les yeux des deux plus grands. Mais j’ai vu aussi la joie d’être grands frères. L’arrivée
d’un bébé, c’est aussi un cadeau. Pas seulement. Mais aussi. Et cet amour là, rien ne le remplace. Pas même leur maman !
Non pas du tout, j’ai toujours eu hâte qu’on se rencontre mais je crois que ce que tu es ressens est légitime, c’est
un nouveau grand changement de vie…
Ca m’angoissait aussi pour Lù. J’avais surtout peur de ne pas l’aimer autant que Tim, de ne pas lui accorder autant de temps qu’à mon aîné. Sa place, je savais qu’il la trouverait parmi nous 😉
Un enfant de plus dans la famille, c’est une organisation différente mais c’est de l’amour en plus, surtout 🙂
J’en ai parlé aussi sur mon blog je n’avais pas envie d’accoucher alors que pour mon premier j’avais hate tout était pret en temps et en heure que pour lui j’ai fait tout au dernier moment …
donc tu n’es pas la seule a penser comme ça.
Je voulais cet enfant, mais une fois que je suis tombé enceinte mille questions sont arrivés, comment je vais faire avec Stitch et le bébé?? vais je l’aimer autant que lui?? comment Stitch va le
prendre?? ( surtout qu’il est encore petit), comment allons nous faire et j’en passe… puis toute cette angoisse est passé dès que j’ai mis au monde tigrou dès que je l’ai eu dans mes bras, je
me suis sentie seulement HEUREUSE et COMBLE…. je pense que c’est un capte normal dans cette deuxième grossesse 😉 en tout cas je te souhaite une très belle grossesse et très heureuse de pouvoir
la suivre sur ton blog 😉
Bonjour,
je viens de lire ton article, je ne connaissais pas ton blog, mais en le lisant, je me suis un peu retrouvée…
Actuellement, je suis enceinte de mon troisième enfant (pour fin novembre) et je t’avoue que j’ai un peu peur… (mais plus pour l’organisation et son acceptation au sein de mes deux chipies
hypra complices) J’ai vécu déjà les sentiments que tu ressens pour ma seconde grossesse. Quand j’étais enceinte de ma seconde, je n’avais qu’une peur, ne pas l’aimer ou tout du moins pas autant
que sa grande soeur. Je ne pensais pas ça possible de pouvoir aimé un autre petit bout de chou autant que ma princesse… Ma maman, ma belle-mère et la tante de mon homme a qui j’en avais parlé
me disaient que je verrai, ça n’arriverai pas, je l’aimerais ce bébé. J’avais du mal à y croire… Moi qui suis fille unique, a géré une fratrie… Et puis, on lui a trouvé quelques petits soucis
cardiaques, rien de bien grave, mais assez angoissant et aussi assez perturbant… j’avais peur de trop m’attacher à elle… si il lui arrivait quelquechose, il fallait que je ne sois pas trop
anéantie pour ma grande… et puis les mois ont passés et elle est née, tout allait très bien… et là, une évidence… je l’aimais autant que j’aimais sa soeur! mais au début, je marchais sur
des oeufs, trop peur de créer des jalousies, des conflits entre elles… Je paniquais si je voyais ma grande pleurer (même si au final, ça n’a jamais rien eu à voir avec sa soeur ou l’amour qu’on
pouvait lui porter) Au fil des années, je peux te dire que je les aime autant l’une que l’autre mais différement car elles ont deux caractères totalement opposé. Avec ma seconde, j’ai noué une
relation quasi fusionnelle comme ma grande l’a toujours fait avec son père. Comme on dit, on a chacun la notre! 😉 je ne me vois pas en choisir l’une plus que l’autre, je ne peux pas vivre sans
l’une ou l’autre. Et elles s’entendent à merveille!
Alors, ne t’en fais pas, on a le coeur assez grand pour chacun de nos p’tits bouts. Il faut juste le temps de prendre ses repères… c’est pas évident de se retrouver avec deux enfants à gérer,
mais j’espère que tu as des personnes bienveillantes autour de toi pour te remonter le moral quand il y aura besoin (on a toutes des phases de hauts et de bas, la mère parfaite n’existe pas) et
quand tu as des coups de cafards, penses aux calins et aux sourires de tes enfants… Et ta fille ne t’en voudra pas du tout. Fais là participer avec toi quand tu t’occuperas du bébé. Je
demandais à ma grande de me passer les couches, le coton, certains vêtements. Bref, des choses toutes simples pour une petite fille, mais qui lui a montré qu’elle n’était pas à part. ça évite
aussi les jalousies. Elle était super fière de m’aider auprès de sa petite soeur et aujourd’hui encore, elle s’applique à lui faire lire les lettres de l’alphabet ou l’entraîne à compter de plus
en plus loin… et en t’inquiètes pas, ta grande et ce nouveau bébé t’apporteront de la force pour tenir. Ton expérience avec ta grande te servira auprès du second. Je suis sûre que tu vas
très bien t’en sortir.
Je te souhaite de bien continuer ta grossesse et j’espère t’avoir un petit peu aider à déculpabiliser et à te sentir mieux dans ta tête.
C’est un nouveau chamboulement.
Bébé 2 est dans nos vies depuis 3 semaines. C’est dur, avec une puce de 2 ans & demi, ms sincèrement, c’est le même émerviellement devant ce petit être tant aimé !
Pour l’avoir vécu, il ne faut pas se prendre la tête avec tout ça. C’est normal que tu « attendes » moins ton 2ème enfant, que tu sois moins impatiente, ce n’est pas ton PREMIER enfant. On attends
moins le 2ème, surtout s’il est d’âge rapproché, on s’extasie moins devant ses 1ères fois, mais tout cela est normal… Quant à la culpabilité que tu ressens, ton aîné va finir par la ressentir
et en jouer. Je pense qu’il faut prendre la vie comme elle vient, préparer son 1er enfant à la venue du deuxième et le responsabiliser en tant que grand frère ou grande soeur. Il faut lui donner
sa place par rapport à l’enfant à venir. Concernant l’amour maternel, je me souviens avoir dit à ma 1er fille : mon coeur n’est pas comme un gâteau qu’on partage, mais plutôt comme un ballon que
l’on gonfle, plus j’ai d’enfant, plus mon coeur s’agrandit pour faire de la place à chacun d’entre vous… J’ai dit la même chose à ma deuxième fille lorsque j’étais enceinte de mon petit garçon.
Je lui ai répété plusieurs fois pour qu’elle comprenne bien que je l’aimerai toujours autant quoi qu’il arrive. Il faut les rassurer et cela nous aide à nous rassurer nous mêmes… Voilà ce que
je peux te dire de mon expérience.
Ces questions je me les suis tellement posées… Ces sentiments ambivalents de le sentir destiné à notre famille, mais cette angoisse de tout changer et de lui imposer ça, à cette Aînée que l’on
va faire grande soeur…
Mon deuz aura bientot 16 mois.
J’ai eu beaucoup de mal à me faire à l’idée d’avoir un deuxième bébé mais pourtant je voulais plein d’enfant ! Je ne voulais pas que la grossesse me handicape dans la relation avec mon Aînée mais
je m’en voulais de ne pas la vivre comme la première… La grossesse et ses questions !
Au début nous voulions un bébé surprise ; finalement, j’ai demander à savoir le sexe (seul moi et Chéri connaissions le secret), ça m’a beaucoup aidé. Quand j’ai su que c’était un garçon, ça a
été plus facile ! Je me suis mis à lui parler, à me progeter et j’ai commencé à investir sa grande soeur.
Et il est arrivé !
Il s’est simplement posé sur notre nid.
Tout a été très facile avec ce bébé, beaucoup plus facile qu’avec l’Aînée. Pour le deuxième on en sait déjà un peu .
Mon BabyCadet m’a fait grandir tout comme l’Aînée. J’ai changé ,il a changé, nous avons changé… Et enfin, après plus d’un an ,nous trouvons notre équilibre…
Ce deuz m’a apporté un certain équilibre, il m’a fait me poser dans mes choix parentaux et éducatifs. Maintenant, je suis sure de la maman que je suis pour elle et lui… Et bientot pour un
troiz.
Dans les moments de doutes post-BabyCadet, j’ai découvert une chanson de Linda Lemay. Une chanson qui mettait enfin des mots sur ce ressenti qui me gênait : http://www.youtube.com/watch?v=ugqXh-jamZw
Aujourd’hui, quand je les regarde jouer ensemble, se faire des papouille et rire aux éclats ; quand je ressens tout cet amour qu’ils me renvoient par leurs fou-rire et bien, je dois dire, que je
me demande comment j’ai pu avoir tant de doute pendant 9 mois !
A bientot
Quand j’étais enceinte de ma fille, J’avais peur de ne pas pouvoir l’aimer, de ne pas savoir comment j’allais l’aimer, j’avais beaucoup de si et de comment, je retournais la question en boucle et
je n’avais aucune réponse, seulement attendre qu’elle naissance pour savoir. Et puis, elle est arrivée, et d’un seul coup tout les doutes sont partis.
Maintenant lorsque je parle d’un deuxième enfant avec des amis, c’est vrai que je me dis que pour moi c’est impossible d’en aimer un deuxième que j’ai déjà donné 100 % de mon amour à cette enfant
déjà présent. Mais quand je vois les doutes que j’ai eu avec elle, je me dis que c’est naturel d’en avoir et qu’au fond, si un deuxième pointrait son nez, je l’aimerais tout autant.
Je me dis que les doutes sont des choses normales.
Bon courage en tout cas :).
Comme je te comprends…. je sais déjà que je me poserais toutes ces questions, car elles m traversent l’esprit quand j’envisage un petit deuxième….
Je pense qu’il y aura des moments pas simples mais je suis certaine que tu vas gérer ! ça va le faire 😉
D’abord félicitations pour ce bébé à venir.
Ensuite, le baby blues est justement le sujet de mon dernier article: http://worldofcleophis.blogspot.fr/2013/06/le-baby-blues-se-vit-aussi-en-couple.html
Oui, l’arrivée d’un bébé est un bouleversement à plus d’un titre, mais oui, on s’en sort quand même ! 🙂
C’est vrai que le premier, c’est un choc ! J’étais pas préparée à ça… j’imagine que pour le second il y a moins d’angoisse malgré tout
Voilà qui me rassure 🙂
Quoi qu’il arrive dans ma vie, je cogiterais toujours ^^
Je crois effectivement que la peur entre dans nos vies aussi quand on devient parent
« L’arrivée d’un bébé, c’est aussi un cadeau » je pense que c’est ainsi qu’il faut le présennter au(x) plus grand(s)
Et dans la mienne le moindre grain de sable bloque les rouages ^^
C’est surtout pour Minipuce que j’angoisse je crois… elle qui nous colle tant, qui n’aime pas partager…
L’Amour, je n’en doute pas une seule seconde 🙂
Merci pour tes mots rassurants. A bientôt j’espère
Je me sens « coupable », pour ma part, d’aimer le second bébé… Je n’ose pas l’aimer ! Mais ça viendra, j’en suis sûre. Je te souhaite une belle grossesse en tous cas
C’est l’acceptation de ma fille de 2 ans qui me fait un peu peur… mais elle s’y fera… j’espère ! Merci pour tes mots
Je pense qu’il est en effet important que je veille à impliquer ma fille dans l’arrivée de son petit fère ou sa petite soeur. Et rassurer oui… encore et toujours… c’est important… j’y pense
tellement ! Merci pour tes mots
je ne peux que comprendre tes doutes et tes peurs car je viens de vivre la même chose. j’ai donné naissance il y a maintenant un mois a ma deuxième petite fille. la première a plus ou moins le
même age que ta minipuce et j’ai passé toute ma grossesse a me demander si j’arriverai a aimer autant le petit bébé qui grandissait en moi. tout comme toi je n’étais pas aussi impatiente de la
voir que pour la première ; je culpabilisais beaucoup de faire souffrir ma « grande », et le plus dur ont été les quinze premiers jours après sa naissance. j’en suis même arrivEe à regretter cette
décision de 2ème enfant. mais aujourd’hui tout va bien mieux. j’ai réalisé que c’est moi qui étais le plus perturbée, et que si oui, bien sur cela fait un chamboulement dans la vie de ma fille,
élevée elle aussi en fille unique ses 2 premières années, tout irait bien si moi j’allais bien ! il ne faut pas culpabiliser, nos filles ressentent tout et si elles voient leur maman malheureuse
et mal elles le seront aussi. vous allez forcément passer par une phase d’adaptation mais je t’assure que tout rentrera dans l’ordre une fois la grosse fatigue et le baby blues (n’aidant pas)
passés. alors je te souhaite bon courage pour les bons et mauvais moments a venir.
J’ai hâte de connaître le sexe de mon bébé car je sais qu’il m’aidera à mieux accepter cette grossesse et cette « trahison » faite à ma princesse. Je sais que tout cela sera bientôt derrière moi
mais, pour l’heure, je ne peux m’empêcher de culpabiliser. POurtant, cette seconde grossesse, je l’ai désirée !
Bizarrement j’y pensais pas trop à tout ça avant de savoir qu’il s’était installé dans mon ti bidou ce bébé ! J’avais d’autres préoccupations : saurais-je gérer 2 enfants ? C’était la question que
je me posais surtout. Merci ma Débo !
Je sais que j’aimerais le second quand il sera là… mais pour l’instant, j’ai tellement de mal à le concevoir « en réel ». POur l’instant, il reste cet inconnu…
Merci Cleophis ! Tes mots sont rassurants
Un témoignage rassurant qui fait du bien Lico. J’ai peur de ressentir ce que tu as ressenti : l’idée que ce second bébé était une mauvaise idée. Vivement que cela passe !
Bonjour
Ce post a plus d un an maintenant et je suis dans le même cas que vous… comment s est passée l arrivée du second? L avez vous bien accepté? Et surtout votre premier l a t il bien vécu?